Tout d’abord, ce cal vicieux pose problème pour mettre la PTG. En effet, lors de l’opération, on se sert de l’axe du fémur pour positionner la prothèse. Si on ne tient pas compte du cal vicieux, alors la PTG sera mal posée.
De plus, le patient pose un autre problème. La plaque est toujours en place et les vis gênent. On ne peut pas utiliser le matériel pour mesurer l’axe du fémur. Comme la plaque est là depuis de nombreuses années, il est très difficile de la retirer. En effet, plus on attend, plus l’ablation du matériel est difficile. L’os repousse autour des vis et celles-ci adhèrent au fémur.
Ainsi, pour mettre la prothèse, on utilise la navigation, une chirurgie assistée par ordinateur.